J'ai enfin changé de modèle de signet.

 J'aime beaucoup travailler les cotons dégradés.

 Et maintenant, devinez qui est venu

pour des "bécotages" dans le bouleau ?

 Et non, vous ne rêvez pas,

ce sont bien Papa et Maman Tourterelle !

C'est la passion entre ces deux là.

Ce couple est facile à identifier maintenant 

 avec la cicatrice de l'une d'elle, au niveau du jabot,

que j'ai pu voir quand elles se sont envolées.

Figurez-vous qu'elles ont eu honte en nous voyant

derrière le carreau et sont parties.

Je vous souhaite un bon dimanche.

Ce sera, sauf événement exceptionnel,

le dernier article au sujet de ces deux tourtereaux.

Ils ont 19 jours et peuvent quitter le nid.

Samedi soir, ils se sont endormis dans le cytise.

Ils y ont passé  la matinée de dimanche,

toujours sous l'oeil attentif d'un adulte.

Je suppose que cette période où ils s'émancipent

est celle de tous les dangers.

Le second parent est sur le fil, vigilant.

On essaie différentes branches,

mais jamais loin l'un de l'autre.

Le vent souffle fort, pas facile de garder l'équilibre !    

On se réfugie dans le bouleau

où les branches sont plus stables !

et sous haute surveillance...

Les voici tous les deux sur le nid, je devine pourquoi,

surtout quand ils se mettent à trembler.

C'est un signe qui ne trompe pas !   

Ils passent le reste de l'après-midi tranquilles

et s'endorment tout près l'un de l'autre

sur une branche du bouleau.

Lundi matin, toujours le froid et la pluie.

Deux tourtereaux blottis attendent le soleil...

Moi aussi !!!

La tourterelle blessée est toujours là, pleine de vie.

Le vent soulève ses plumes et je la reconnais à sa cicatrice. 

Cette couvée aura été perturbée par la blessure

 de l'un des deux parents mais tout se termine bien.

Je continue de les observer bien sûr,

je ne saurais faire autrement.

C'était la première fois que les deux oeufs ont éclos.

Pendant ce temps, un couple de pigeons couve

dans ce même bouleau.

Il est si touffu que nous n'apercevons que leur queue

en nous plaçant sous l'arbre.

Je vous souhaite une bonne semaine.

Si quelqu'un a capturé le soleil,

merci de le remettre à sa place,

une récompense est promise. 

Cet article, préparé hier soir, 

 était programmé pour aujourd'hui.

Mais je dois le continuer.

Je n'ai vu qu'un tourtereau ce matin dans le cytise.

et plus tard...

bien trop trempé pour pouvoir voler !

L'autre était dans la haie, tout près, au sol lui aussi. 

Heureusement que les chats n'aiment pas l'herbe mouillée !

Zorro est arrivé, bien sûr, et les a facilement recueillis.

Il les a remis sur une grosse branche du bouleau.

J'espère qu'ils vont se tenir tranquilles.

Où ils sont, je ne peux pas les voir, le feuillage est trop dense.

Photo prise sous l'arbre. Ils sont trempés !!! 

Même les roses pleurent...

Nous sommes arrivés hier soir.

Quel changement en 3 jours !

J'avais peur de ce que j'allais trouver.

Tout semble aller pour le mieux.

Ce matin, la tourterelle blessée était à son poste.

Je n'ai pas vu son jabot.

Je suppose que la cicatrisation s'est poursuivie.

Les tourtereaux ont aussi changé leur manière de vivre.

Ils quittent le nid et s'aventurent sur les branches proches.

Si vous agrandissez les images, vous verrez qu'il pleut.

Il a plu toute la journée !

Ils ont 16 jours ce samedi ! 

Pas toujours facile de les repérer...

Tiens ! Se prépareraient-ils pour la nuit ?

Après le dîner, je vais voir où ils en sont, comme d'habitude.

Et là, panique : plus de tourtereaux, ni dans le nid,

ni sur les branches du bouleau.

Pourtant, sur le fil, les parents ne paraissent pas inquiets...

Je ne les identifie pas...

C'est alors que je me rappelle Tanguy.

et je tourne un peu la tête.

Les voyez-vous ?

Sans doute ont-ils vu mon dernier article  à leur sujet 

et désiré me faire plaisir...

Ils ont beaucoup de goût ces tourtereaux.

Je trouve ce tableau magnifique !

Le nid est toujours vide et grâce à la torche,

j'ai pu les apercevoir, ils sont toujours dans le cytise.

Sans doute vont-ils y passer la nuit...

Notre voyage en Auvergne s'est bien déroulé.

Plaisir de se retrouver en famille,

de se balader et découvrir la région,

et plaisir de faire du tourisme au retour.

Nous avons mis 9 heures pour parcourir 267km

mais admiré de superbes paysages.

C'est notre façon de voyager...

Je vais essayer

de répondre à vos commentaires.

J'ai du pain sur la planche !

Je crois que le printemps ne nous est pas encore promis,

mais je vous souhaite malgré tout un bon dimanche.